
Il y a du monde
Les figures de la psyché, Animus, Ombre e compagnie, influencent à mon insu les posts que je programme automatiquement pendant mes périodes de déconnexion du web. De ce dialogue intime surnage ici un bout d'image : ce sera la carte postale de ma vie hors ligne. Ainsi quand je reverrai l'image je comprendrai peut être de quoi il est question. Merci au blog qui permet d'extérioriser ce qui est encore inconscient.


Une pratique régulière
Ceci est un post programmé en avance, dont je ne sais pas ce qu'a donné la publication. Concrètement je n'ai pas encore vu ce que vous êtes en train de lire mais j'ai pris goût à la vie déconnectée : une semaine sans ordinateur c'est le grand luxe ! Alors pourquoi ces lignes ? C'est une question de rythme et de discipline (comme toutes les pratiques sérieuses...) et vous savez que je m'amuse en observant ce qui se passe dans ma page Facebook branchée sur mon blog à la petite


Au pays d'abondance
Après une semaine de déconnexion du web je retrouve une page Facebook bondée de posts que je n'aurai jamais le temps de lire tous. Dommage pour les pépites que chacun s'évertue à diffuser. Démarrer une vidéo prometteuse ? J'y pense même pas, alors que glaner quelques lignes au passage reste jouable, même en pleine profusion de signifiants. Pour communiquer avec mes amis, la formule image/légende pourrait être la solution mais à force d'être concis on tombe dans le roman photo


Le rythme soigne
S'harmoniser avec les saisons, suivre les phases de la lune, la course du soleil, manger à heures fixes, n’exagérons rien... Même cette chronique de ma page Facebook tente le rythme régulier : une fois par semaine. Sauf ce billet que j'ai dû écrire par anticipation et planifier sa mise en ligne pour cause de déconnexion du web (ça soigne aussi !) pendant une petite semaine. Dès qu'on joue à postdater, le mythe de la présence en prend un coup. Surtout, je n'ai pas vu ce post p