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Analyse de rêve à Bagdad café


Les rêves sont comme des films, avec scénario et personnages se métamorphosant à tout va.

Notez les aussitôt réveillés pour fixer le volatile avant qu'il ne s’évanouisse dans l'oubli.

En séance, l'analyste commence par essayer de "voir" le même film que le rêveur a rêvé. Dans cette phase descriptive surgissent les libres associations, à savoir ce qui nous passe par la tête. Parfois on associe avec des vrais films et on amplifie alors comme avec les mythes et les contes. Ça a été est le cas pour Bagdad café (1987) à cause d'un fruit mur et surtout des tours de magie. La lumière ocre y était aussi pour quelque chose !

Vous vous souvenez de cette inénarrable touriste bavaroise atterrissant dans un bar bordélique en plein désert de Californie ? Je parle du film parce que je ne suis pas censée raconter les rêves qu'on me confie. Sauf cette fois-ci puisque quelqu'un m'a demandé d'écrire sur son rêve dans mon blog. Il sera déçu que j'en dise le minimum syndical : le fruit, la lumière, la magie... Oui, la déontologie protège ! Elle veille, entre autres, sur les tresors d’énergie que chaque rêve ramène de l’inconscient.

Avec en prime un dessin d'autant plus plat que le rêve était profond.

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